Message miraculeux de l'Ange le 12 septembre 2001

♪♫

 

<<Je te garde dans mon Coeur,

     je te garde dans mon Corps,

       Miracle, Miracle, Miracle>>

 

Bravo vous êtes le

un compteur pour votre site ème
 

à avoir trouvé le miracle

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Cela s'est déroulé le 11 et la nuit du 11 au 12 septembre 2001.
L'après-midi, je flânais avec une amie en ville, et nous jouions à un jeu,
je devais fermer les yeux et elle me conduisait à travers la ville.
Je me mettais dans la peau d'un non-voyant pour comprendre ce qu'ils pouvaient ressentir.
En remontant de la ville la mère de mon amie nous rattrape alors que je parlais à mon amie
et que la dernière phrase que je prononçais était : << C'est comme dans une tour de contrôle >>
lui dis-je, c'est alors que sa mère nous annonce une terrible nouvelle:
les fameux attentats du 11 septembre. J'ai toujours les yeux fermés
(je porte des lunettes de soleil) et sa mère me demande pourquoi sa fille me tient par le bras.
Nous rentrons chez eux et à la télé, la nouvelle est confirmée.
Je suis très perturbé par cette nouvelle.
Si bien que le soir en rentrant chez moi je reprends un médicament
que je ne prenais plus depuis longtemps, pour calmer mes angoisses.
Le fait de reprendre ce médicament m'angoisse aussi.
La nuit je fais un cauchemar et je rêve que le diable est rentré chez moi
et avant qu'il ne s'enfuie j'arrive à lui coincer la jambe en lui fermant la porte dessus.
Il disparaît alors de mon cauchemar en rapetissant tellement que je ne le vois plus.
Réveilllé par ce cauchemar et angoissé par ce qui est arrivé aux USA,
je décide d'aller aux urgences psychiatriques de l'hôpital le plus proche .
Il est tard dans la nuit. J'arrive aux urgences, un patient est déjà là à attendre,
je ne sais pas ce qui m'a pris , j'ai prononcé un nom assez fort,
et l'infirmière a appelé le patient du nom que j'avais donné alors que je ne connaissais pas cet
individu. Cela accentuait mon angoisse car je ne contrôlais pas ce qu'il m'arrivait.
Lorsque mon tour vient, je raconte mon cauchemar et la psy qui me reçoit me fait la réflexion,
<<il faudrait peut-être ouvrir la porte à vos parents>> (et fermer la porte au diable).
Bref j' insiste lourdement pour rester à l'hôpital mais la psy me dit qu'il n' y a pas de lit
disponible pour moi.

En sortant, un peu déçu que l'on ne puisse rien pour moi, l'infirmière vient vers moi
et me tend un verre rempli d'un médicament. Je lui demande quel est ce médicament,
elle me dit le nom. Je le connais pour en avoir déjà pris, c'est un anxiolytique et neuroleptique (tercian).

Je prends le verre et je m'en vais avec vers la sortie, ce qui ne plaît pas à l'infirmière qui
me lance : <<Vous ne pourrez plus jamais revenir>>.
Je lui réponds que c'est elle qui ne veut pas que je revienne et je sors de l'hôpital ( l'hôpital Jean Minjoz).

Je reviens en voiture chez moi, le verre plein, serré entre mes cuisses, et arrivé chez moi,
à l'entrée de mon immeuble, je m'assois pour réfléchir.
Je décide de boire le verre mais avant je récite une prière :
un "Notre Père" et un "Je vous salue Marie"

et un "Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous" au cas où...
J'avale le verre en entier en me pinçant le nez.

Comme je suis toujours perturbé, je décide d'aller voir mon frère pour ne pas être seul
(il habite à 2 km de chez moi). Il m'ouvre la porte et je luy demande si je peux dormir chez lui.
Il m'installe dans la salle à manger et j'essaie de m'endormir, mais des bruits étranges se font
entendre, de gros bruits de vaisselle, ce qui a pour conséquence de réveiller mon frère qui se
demande ce qui se passe. Je lui dit avec humour, oh t'inquiètes pas, ce sont sûrement des
poltergeists, mais au fond de moi-même je suis très angoissé.
Je décide donc d'aller chez mes parents qui habitent à 15 km de chez moi.
Pendant le voyage en voiture je commence à avoir des effets
du médicament que j'ai pris. Des voiles noirs s'abattent sur moi pendant que je conduis,
cela me donne l'impression que la nuit tombe d'un coup alors qu'il fait déjà nuit.
J'ai l'impression que c'est la fin du monde et je crie dans ma voiture à chaque fois
que le voile noir s'abat sur moi.
Arrivé chez mes parents, je sonne mais personne ne me répond
( j'appris plus tard qu'ils étaient sortis).
Je remarque que la lumière des étoiles m'apaise et que lorsque la lumière est allumée
(dans la voiture) je n'ai plus de voile noir.
La lumière me rassure.

Après réflexion, je décide de retourner à l'hôpital. Arrivé dans l'enceinte de l'hôpital,
à la place des lumières (veilleuses qui éclairent la route) j'aperçois des formes humaines noires,
comme le voile, et elles disparaissent quand je m'approche d'elles.A cet instant là, j'ai vraiment l'impression d'être dans un autre monde.

Puis j' aperçois quelqu'un que je connais.Cela me rassure. Je l'appelle et luy demande
ce qu'il fait là.
Il m'explique pourquoi il est là. Je lui dis de monter dans ma voiture. A ce moment là, il pleut
et j'ai mis les essuie-glaces quand tout à coup j'entends une voix douce et féminine qui me dit:
<<Je te garde dans mon Coeur, je te garde dans mon Corps, Miracle, Miracle, Miracle>>
Tout cela rythmé par le son des essuie-glaces, comme si une chef d'orchestre battait la mesure d'une musique extirpée du plus profond de "mon" être.
Alors je demande à mon ami s'il entend ce que j'entends, il me dit que non.
Et la phrase se répète inlassablement au rythme des essuie-glaces.
Je fais part à mon ami de ce que j'entends.
Puis nous décidons d'aller chez moi.
En arrivant chez moi, j'ouvre la fenêtre de mon appartement et je vois encore une ombre noire
sous un arbre, comme si quelqu'un m'attendait ou me guettait.
Puis mon ami repartit chez lui.
J'étais à nouveau seul et toujours ce voile noir qui s'abattait sur moi.
Je me dis que ce devait sûrement être la Mort, et du coup je tombai à genoux et je prononçai
ces paroles:
<<Je crois que ce n'est pas encore mon heure de mourir>> comme si je parlais directement
à la mort.

Je finis par retourner chez mes parents alertés par mon frère de mon état.
Je finis la nuit chez eux, je pus dormir quelques heures.
Le lendemain matin nous décidâmes de me faire hospitaliser, dans la matinée, mes parents dûrent
s' absenter et je me retrouvai une fois de plus seul face à mes angoisses.
J'étais à trois mètres de la porte d'entrée (à l'intérieur de la maison lorsque soudain la porte
s'ouvrit toute seule alors qu'il est très difficile de l'ouvrir)
Je sortis pour voir s'il y avait quelqu'un...personne.
Je criai alors , vous ne faites pas peur !
(Beaucoup plus tard je repensai à ce que m'avait dis la psy:
<<il faudrait peut-être ouvrir la porte à vos parents>>)
Sur le coup je n'avais pas fait le rapprochement...

Je fus donc hospitalisé, et quatre jours après je pus revenir chez moi avec un nouveau traitement (après m'être évadé de l'hôpital avec ma guitare à la barbe du concierge) lol. En arrivant chez moi je téléphonai à Mme Sauze (Médecin chef psychiatre à Novilars) pour la prévenir que j'étais rentré chez moi, elle signa une décharge pour se décharger de sa responsabilité.

Mme Sauze est une personne très compréhensive et très gentille, pourquoi je dis cela, parce que c'est vrai.

Maintenant ils ont mis des caméras à l'entrée et des barrières de passage à niveau et pis si tu t'évades alors que tu es hospitalisé d'office par le préfet il y a les gendarmes qui te ramèneront au bercail.
Lorsque je racontai mon histoire à un moine franciscain et que je luy racontai
ce que j'avais entendu dans la voiture, il me dit que le Corps c'était celui du Christ et
que c'était sûrement un ange qui m'avait parlé.

Plus tard dans la voiture je retrouvai sous mon siège une médaille qui avait dû glisser
de ma poche, c'était la médaille miraculeuse de la rue du bac....

Quant à vous qui me lisez je vous laisse libre d'interpréter à votre façon le sens de ce message car il existe au moins autant de mondes différents qu'il existe d'êtres humains sans oublier que les animaux sont des êtres humains comme les autres hi hi hi.

Ps:<<Aucun rêve ou mirage n'a jamais conduit aucune caravane

à destination.

Mais sans un rêve ou un mirage,

aucune caravane jamais

ne se serait mise en route>>

......................................Jean Debruyne.

Besançon le 4 mars 2008.

Texte modifié et corrigé le 27 mai 2008 à 22h59

et le le 21 juin 2008 (Fête de la musique)

Conclusion: Prends garde à toi....


Philippe.


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